Dans les anciennes règles chinoises, lors du décompte, on retirait deux points pour chaque groupe vivant. C'était le kirichin.
Pour les sekis, on appliquait également une taxe d'un point par œil. C'est probablement la raison pour laquelle les yeux des sekis ne valent pas de point en règle japonaise moderne.
La suppression du kirichin est semble-t-il assez récente en règle chinoise (milieu du XXème siècle).